Bienvenue pour ce tout autre témoignage à la fois virtuel mais toutefois si proche de la réalité de notre quotidien. Ce n'est pas de jeux-vidéo que nous allons vous parlez, mais bien en effet du rapprochement entre les enjeux majeurs qui vont à l'encontre des humains et des espèces sauvages.
Alors que nous vivons pratiquement tous de nos préoccupations au quotidien, chaque individus se posent les mêmes questions, sur notre alimentation, notre état de santé, Mais quelles sont les origines des produits que nous achetons? Et de quelles façons, ont-ils été traités, avant d’atterrir dans nos assiettes?
Resident Evil s'inspire de ces causes, issue des laboratoires pharmaceutiques, des expériences de tous genres, exercées sur des cobayes. Certains scientifiques sont capables d'élaborés les pires scénarios catastrophiques dans notre monde réel. La propagation d'un virus, est se qui est de plus inquiétant.
Si certaines contaminations comme la grippe porcine mexicaine en 2009, ou la grippe aviaire qui obligera des fermes à raser des oiseaux tel que les canards. Les propriétaires deviennent les victimes d'un gouffre sans précédent, et sont mis à contribution par des obligations exigées.
Aussitôt ses virus se propagent, aussitôt des vaccins sont préparés après avoir atteint un seuil d'épidémie. Tout le problème est ici : pourquoi développer une gangrène?
Ce jeu virtuel épisodique résume la réalité d'un quotidien épineux de mutations. Les virus se développent mais ils peuvent muter. La mutation de deux virus est de ce qu'il y a de pire, car le remède est inefficace. Si certains scientifiques sont pour la recherche, d'autres vont jusqu'à jouer avec le feu, créant des maladies qui n'ont jamais existées.
Cet article a été réalisé à titre de comparaison, en faisant le lien entre ce jeu virtuel et la réalité que traversent le monde.
Mise à jour de l'article : 1er Août 2020
Le 24 Juillet 2019, MRTC publié son article résumant les points communs du jeu virtuel "Resident Evil", face à la réalité des faits, produit par les laboratoires pharmaceutiques. Dans la suite de ce témoignage du récit virtuel face à la réalité, les événements ont réellement bouleversés le monde entier, face à la pandémie qui menace la santé mondiale.
Le Covid-19, est devenu le sujet virulent et invisible de notre société. En Décembre 2019, nous apprenons une information, suscitant des questions. Ce sujet portait sur le mystère inconnu d'un virus, qui était entrain de faire irruption dans le silence. Au cours du même mois, cette infection causera plusieurs décès, dont les craintes commençaient à prendre des proportions.
Si les premiers signes d'alertes restaient encore flous, les populations étaient partagées sur tout un ensemble de questions sans réponses. En Janvier 2020, l'annonce qui venait d'être prononcée, sonne l’inquiétude, le continent d'Asie est touché par ce virus, faisant de nombreux décès chaque jour.
L'Organisation Mondiale de la Santé ne veut pas évoquer de pandémie mondiale. La petite grippette commencée réellement et véritablement à prendre de l'ampleur. Le virus circulé déjà dans le monde.
Entre fin Janvier à mi-Mars 2020, le virus circule activement. Il se propage en Europe, et en Amérique, la pandémie mondiale a parcourue le monde. Chaque jour, le nombre de cas et de décès augmentent, et des restrictions sont imposées par les États.
Les populations sont confinées. Les gens se pressent pour s'approvisionner, les rayons de magasin de distribution alimentaire s'épuisent en stock, les transports de marchandises réduisent leurs déplacements, en limitant à une seule fois par semaine, l'approvisionnement des supermarchés. D'interminables queues en file indienne doivent patienter, pour éviter un flux, mais aussi un risque de contamination.
La crise sanitaire semble être loin d'être finie. Deux mois et demi de confinement, le Covid-19 est encore présent dans le monde, la récession a fait chuter l'économie, comme si nous serrions revenus au point de départ, lors de la crise de 2007. Ce ne sont pas que des chiffres qu'il faut observer, mais les situations comparable aux histoires que le monde avait déjà traversé.
La population mondiale était entrain de retrouver une économie plus au moins stable, pour retomber de nouveau dans une nouvelle crise. Une crise économique, sociale et sanitaire. La santé est menacée par un virus qui ne peut être reconnu que par des symptômes grippaux.
Une personne qui ne sait pas qu'elle est contaminée, peut contaminer d'autres personnes. C'est ce qu'on appelle les cas asymptomatiques, ceux qui ne ressentent aucun symptôme. La risque de contagion peut être multiplié.
Face à cette crise, ce sont l'ensemble des personnels hospitaliers et libérales qui doivent porter assistance aux patients. La gestion a pris de telles proportions qu'elle est devenue ingérable pour les services de médecines. Des stocks de protections insuffisants, comme en témoignée une infirmière, qui devait être obligée de garder son masque pendant plus de quatre heures.
Des équipes qui ont investit de leur efforts.
Cette crise restera pour toujours, de lourdes cicatrices qui ne s’effaceront jamais. Les masques deviendront une relique, pour rassurer et être rassuré. Plus rien ne sera jamais comme avant, car l'envie et le plaisir ne sont pas au rendez-vous. Les restrictions seront plus que jamais quotidiennes.
"Resident Evil" n’étant qu'une fiction, il permet de réaliser qu'une crise sanitaire, épidémique jusqu'à devenir une pandémie mondiale, montrent les difficultés et les enjeux majeurs vers une crise social, qui ont étaient anéantis par des virus. De nos jours, les médicaments sont réalisés pour soulager les douleurs, ils ne sont plus fabriqués pour éradiquer les infections.
Nous vous invitons à observer de plus près, à quel point les créateurs de ce jeu, avaient une vision prémonitoire d'une réalité qui allée bouleverser le monde, vingt-quatre ans plutôt. A travers les journaux de bords.
Bien que ces textes ne soient que des histoires, nous pouvons en déduire les signification très avancées, qui s'étaient déclarées avant la crise sanitaire du Covid-19.
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