Resident Evil : Jill Valentine, un personnage de fiction historique

C'est le nouveau portrait de cette nouvelle année 2020, #MrtcSound vous propose un nouveau témoignage placé sur le signe de l'un des personnages de fiction du jeu-vidéo. Depuis 1996, elle est une icône à part-entière, parmi tout les autres : Jill Valentine.

Son nom ne vous dit rien depuis un peu plus de vingt ans, et pourtant, elle est la première héroïne de fiction de toute la saga de Resident Evil jusqu'à nos jour.

Jill Valentine a rendu célèbre, l’épopée du Jeu-vidéo, malgré les imperfections pixelisées graphiques. Ce récit très largement inspiré  de la réalité sur les conséquences des expériences pharmaceutiques menées à risque sur les humains et l'espèce animale.

Resident Evil résume très bien cette vérité, en imaginant un monde plus horrifiant.

Revenons sur le personnage de Jill Valentine, à l'occasion du nouveau retour de Resident Evil 3, où tous les connaisseurs et les connaisseuses rejoueront à cœur joie. La sortie sera probablement prévue dans le courant de l'année 2020.


Jill apparaît dans le premier volet de Resident Evil, en 1996, au côté d'une équipe spéciale, chargée de reconstitué un terrible secret pharmaceutique, créer par la multinationale "UMBRELLA".

Cependant, deux intrus dans cette unité spéciale, ne tarderont pas à faire irruption au cours de la mission. Jill paraît si débutante dans l'histoire, qu'elle nécessite de l'aide. Elle n'a pas toujours été aussi bien armée, pour faire face aux dangers, les plus improbables. Mais Jill ne renonce à aucun obstacles.

Elle réapparaît dans le troisième épisode de l'histoire, et constate l’apocalypse dans toute la ville de Raccoon City. La propagation du virus avait rapidement évolué. En conclusion, nous finissons par constater que la plus implacable des créatures, est véritablement Némésis. Ce monstre dégénéré court toujours après Jill, sans relâche, pour éliminer tous les témoins, des inventions folles de Umbrella.

L'exemple parfait 

En 2002, Capcom revient sur sa prodigieuse invention, en remastérisant le tout premier épisode de Resident Evil, appelé Resident Evil : Rebirth. Rares sont ceux qui auraient joué(és), les séquences nous montrent la réussite révolutionnaire de ce jeu.

Il est, sans aucun doute, l'exemple parfait, par sa qualité graphique réaliste des environnements architecturaux du manoir, des décors, des personnages, et de l'avancée virtuelle de l'univers.

Les développeurs se sont beaucoup donné(é)s, pour se rapprochés au plus près de la réalité. Le personnage de Jill Valentine aura retenu l'attention. En effet, ce visage si féminisé, presque tout aussi vrai que nature, s'est inspiré du portrait de Julia Voth.

Actrice, mannequin et parfois cosplay, ne serait-se pour incarnée pour le plaisir, l'héroïne virtuelle du jeu. Julia Voth avait dix-sept ans, lors de la nouvelle sortie.

C'est la console Game-Cube, qui aura permis aux créateurs de Resident Evil, de pouvoir développer la remastérisation de Rebirth, moins d'un an, avant sa sortie, le 14 Septembre 2001, au Japon.

Conclusion final, le personnage de fiction Jill Valentine, est le plus réussit dans Resident Evil : Rebirth. Marqué par la révolution graphique et surréaliste parmi les autres épisodes. On le doit à Julia Voth et aux choix de Capcom, pour avoir permis ce succès fidèle aux adeptes de cette saga historique.

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